Country: Congo
Closing date: 15 Sep 2016
Direction des Relations et des Opérations Internationales
Termes de Référence Evaluateur
Mission d’évaluation finale du Projet Facilité ACP-UE pour l'Eau
CONGO BRAZZAVILLE
Nom :
Prénom :
TITRE : Evaluateur
LOCALISATION : District Ignié et de Ngabé
PAYS D’AFFECTATION : CONGO BRAZZAVILLE
DUREE DE LA MISSION : Environ 1 mois
DEMARRAGE DE LA MISSION : 15 septembre 2016
I. Liste des acronymes utilisés
AEP : Alimentation en eau potable
AFD : Agence Française pour le Développement
CRF: Croix-Rouge française
CD : Comité départemental
UE : Union Européenne
CRC : Croix-Rouge Congolaise
DGH: Direction Générale de l’Hydraulique
MEH : Ministère de l’Energie et de l’Hydraulique
ANHYR : Agence Nationale de l’Hydraulique Rurale
II. Contexte
a.Contexte pays
La République du Congo est un pays situé en Afrique centrale, il est limité au nord par le Gabon, le Cameroun et la République Centrafricaine, et au sud par l’Angola et la République Démocratique du Congo. Sa population est estimée à 4,7 millions d’habitants en 2015 et sa superficie est de 342 000 km². La forêt tropicale humide s'étend sur près des deux-tiers du territoire, ce qui en fait le quinzième pays au monde par la proportion de couvert forestier.
Le pays possède un Code de l’eau, adopté en 2003, qui cadre le service public de l’eau au Congo. Cependant, ce dernier est souvent imprécis et son application reste encore, dans la réalité difficile à mettre en œuvre à la vue de la faiblesse des acteurs du secteur.
La République du Congo ne parvient pas à couvrir les besoins de sa population en termes d’infrastructures et de services sociaux de base. La situation sanitaire du pays reste précaire. Si le pays dispose d’importantes ressources en eau, cependant, au niveau national, seul 26% de la population rurale a accès à des sources d'eau améliorées.
À noter au niveau national, la mise en œuvre par le gouvernement du projet « Eau Pour Tous » depuis 2014, qui prévoit la construction de plus 4 000 forages dans 2 000 villages de la République du Congo. Le projet est en cours de mise en œuvre (environ 2 500 forages réalisés actuellement) et ne comporte pas de volet afférent à la mise en gestion. Dans la grande majorité des cas, l’eau y est distribuée gratuitement.
b.Contexte de la zone de projet
· Situation géographique
La zone du projet d’intervention du projet est située sur le plateau Batéké, et constitue un ensemble géologique appelé le plateau de Mbé. Le plateau de Mbé démarre à une trentaine de kilomètres environ au nord de Brazzaville et se limite à l’est par le fleuve Congo et au nord par la rivière Léfini. La saison pluvieuse s’étend sur 9 mois, et pendant les 3 mois de saison sèche (de juillet à septembre), le climat y est relativement doux.
· Situation socio-économique
Les principales activités économiques sur le plateau de Mbé sont liées à la culture, transformation et revente du manioc. L’activité de transformation est, par ailleurs, grande consommatrice d’eau, notamment pendant les opérations de ruissage visant à éliminer les composés cyanurés présent dans le tubercule.
· Situation sanitaire :
Les maladies liées à l’eau représentent, selon les estimations, 71% des consultations des Centres de Santé Intégrés des deux districts. Cependant ces chiffres peuvent être sous-estimés puisque les patients ne viennent pas systématiquement aux centres de santé se faire soigner en cas de maladies déclarées. Aux dires des populations, les diarrhées sont fréquentes et constituent selon un des principaux problèmes de santé auxquelles elles doivent faire face.
· Accès à l’eau et qualité de l’eau
Les populations du plateau de Mbé sont particulièrement concernées par des difficultés d'approvisionnement en eau. Dans cette zone il n’y a pas de nappe superficielle pérenne, ni de sources ou rivière à proximité des villages, et la nappe souterraine pérenne est relativement profonde (250m). Les infrastructures en eau collectives sont souvent inadaptées techniquement, et non fonctionnel par manque d’entretien lié à l’absence de système de gestion.
La principale source d’approvisionnement en eau est l'eau de pluie récoltée traditionnellement au niveau individuel, et quelques zones humides ou rivières (quand il y en a) qui sont relativement éloignées pour les zones humides et difficiles d’accès pour les rivières. Les quantités d'eau utilisées peuvent être inférieures à 5l/jour/personne pendant la saison sèche, réduisant fortement la fréquence de l'hygiène domestique et corporelle.
Au niveau de la qualité, les eaux consommées sont généralement de qualité très moyenne. L'eau n'est pas traitée par manque de moyens ou de connaissances.
L'approvisionnement en eau dans le plateau est crucial tant pour la santé que pour le développement économique de la zone (activité de transformation du manioc) : l'eau dite potable est acheminée par transporteurs et vendue à des prix très élevés (de 250 à 500 FCFA les 25 litres selon l'accessibilité). Le manque de transparence sur l'origine et le transport de cette eau permettent de douter que les normes OMS de potabilité sont respectées. En saison sèche, la majorité de la population achète cette eau et les plus vulnérables peuvent parcourir jusqu'à 15 km pour atteindre des ruisseaux situés en contrebas du plateau.
· Assainissement
En matière d’assainissement, des latrines de type traditionnel sont présentes dans 50% environ des ménages des villages de la zone. Cependant, elles ne sont pas couvertes et le cycle de contamination fécal n'est donc pas rompu. Les ménages ne possédant pas de latrines vont déféquer dans celles des voisins ou à l'air libre.
· Connaissances et pratiques d’hygiène et de santé
Il est possible de noter, de la part de la population, une mauvaise perception de la qualité de l’eau à la source ou de l’eau de pluie, un manque de connaissances quant à la pollution de l’eau et aux possibilités de traitement de l’eau, une faible perception du lien entre l’assainissement et la santé ainsi que des pratiques inadéquates pour les règles d’hygiène de base. Ces pratiques sont également le fait du manque d’eau, notamment durant la saison sèche, qui impose un rationnement.
c. Projet mené par la Croix-Rouge française et la Croix du Congolaise
Le projet Facilité Eau d’« Amélioration de l’accès à l’eau potable et à l’assainissement de base, ainsi que des pratiques d’hygiène pour les populations rurales des districts d’Ignié et de Ngabé dans le département du pool » est mis en œuvre conjointement par la Croix-Rouge française et la Croix-Rouge Congolaise. Il est soutenu financièrement par l’Union européenne (UE), l’Agence française de développement (AFD), la Croix-Rouge française, pour un montant total de 3 332 250 Euros. Le projet a pour objectifs :
D’améliorer l’état de santé des populations des districts d’Ignié et de Ngabé en diminuant les maladies hydriques
De contribuer à la réduction de la mortalité maternelle et infantile
De renforcer les capacités humaines et techniques des acteurs étatiques et non-étatiques présents dans les régions dans le domaine de l’eau, hygiène et assainissement.
Le projet repose sur une approche participative forte, une implication importante des populations dans la prise de décision, une responsabilisation des autorités locales et sectorielles sur la maitrise d’ouvrage. Ainsi, deux aspects primordiaux du projet sont « la demande conduite par la communauté » et l’approche participative pour impulser une dynamique de changements de comportement, et garantir une appropriation des ouvrages. Une étude anthropologique au niveau des localités d’Ingah et d’Imvouba, une enquête CAP et une série d’enquêtes par entretien, réalisées en début de projet, fournissent une connaissance et une compréhension améliorées du contexte.
Les groupes cibles sont les habitants des villages, les usagers des centres de santé et écoles, les agents du ministère de l’hydraulique, les acteurs intervenant dans le domaine de l'eau et de la santé, les comités locaux de la Croix-Rouge du Congo.
Les activités principales du projet, organisées autour de quatre volets (« Accès à l’eau potable », « Assainissement », « Amélioration des pratiques d’hygiène », « Renforcement des capacités »), sont :
La réalisation de deux réseaux AEP pour l’alimentation en eau de deux villages.
La construction de cents impluviums individuels.
La construction de cinq impluviums collectifs dans deux centres de santé, deux postes de santé et un marché.
L’aide à la construction de 1 600 latrines familiales.
La mise en œuvre d’actions de sensibilisation pour l’amélioration du comportement individuel et collectif en matière d'hygiène par :
§ De la sensibilisation de masses par mégaphone, focus group dans les villages et écoles et par des activités de théâtre dans des places publiques et écoles de la zone de projet.
§ De la sensibilisation de proximité par le porte à porte.
- Le renforcement de capacités auprès du Ministère de l’Energie et de l’Hydraulique par :
§ Une assistance technique sur le processus de mise en gestion d’AEP en milieu rural.
§ La formation de techniciens à l’utilisation de SIG.
§ La mise en place d’équipements de collecte de données scientifiques (stations limnimétriques, stations météorologiques, piézomètres).
- Le renforcement des capacités des comités locaux de la Croix-Rouge Congolaise.
Le projet, qui a démarré en Novembre 2011, a fait l’objet de cinq avenants au contrat de subvention respectivement en septembre 2012, Janvier 2013, décembre 2014, juillet 2015 et avril 2016 apportant des modifications budgétaires et opérationnelles destinées à adapter le projet à la réalité de sa mise en œuvre et à renforcer sa cohérence.
III. Objectif général de la mission d’évaluation
Cette évaluation finale a pour but d’évaluer le projet mené dans les districts d’Ignié et de Ngabé depuis novembre 2011. Elle a pour objectif d’évaluer l’ensemble des activités menées dans le cadre du projet, de façon à examiner, au regard des objectifs fixés du projet.
Cette évaluation devra ainsi permettre de mesurer le niveau d’atteinte des résultats du projet en termes d’amélioration des conditions d’accès aux ressources en eau, à l’assainissement, des pratiques d’hygiène et des services de gestion mis en place pour assurer leur pérennité.
L’évaluateur, en fonction de son enquête de terrain et de ses conclusions devra particulièrement focaliser son rapport sur les recommandations permettant une optimisation de la réalisation de projet, en vue de permettre l’amélioration de l’approche de la Croix-Rouge française dans la mise en œuvre de projet similaire.
L’évaluation a également pour but de formaliser les leçons apprises dans le cadre de la mission.
IV. Objectif(s) spécifique(s) de la mission d’évaluation
Les objectifs de l’évaluation sont :
- D’apprécier tant qualitativement que quantitativement les actions accomplies sur le terrain, les résultats obtenus au vu des attentes initiales et le niveau d’atteinte des objectifs.
- D’élaborer des recommandations sur la logique d’intervention poursuivie au vu du contexte, des problèmes et besoins, faiblesses et capacités des différentes parties prenantes.
Le projet devra être évalué selon les critères du DAC de l’OCDE : pertinence, couverture, efficacité, efficience, durabilité, impact et cohérence. Des recommandations pour améliorer chacun des critères seront présentées. Un plan d'action correspondant à chaque recommandation sera proposé dans le rapport d’évaluation. L’évaluateur portera une attention particulière sur la pertinence, l’efficacité, l’impact et la durabilité.
Les différents champs d’analyse qui devront être couverts par l’évaluation seront donc les suivants :
- Une analyse de la pertinence et de la cohérence des activités mises en œuvres par rapport à la stratégie utilisée, aux objectifs du projet, au choix des bénéficiaires et par rapport aux autres acteurs :
§ La pertinence et l’adaptation des objectifs du projet par rapport aux besoins,
§ la pertinence du choix du domaine d’intervention du projet et surtout des priorités techniques et géographiques identifiées, c’est-à-dire la pertinence du choix des localités et des ouvrages,
§ le niveau d’implication et de compréhension du projet par les autres acteurs (populations, autorités villageoises, services techniques…..),
§ la pertinence des indicateurs choisis pour suivre l’évolution du projet et l’atteinte des objectifs,
§ la cohérence entre indicateurs choisis et sources de vérification,
§ la cohérence entre activités et résultats attendus,
§ la validité, après un an et demi de projet, des objectifs,
§ la cohérence du projet avec les priorités, politiques nationales et régionales et l’implication des autorités sectorielles,
§ la cohérence du projet avec la stratégie de la Croix-Rouge congolaise,
§ la redevabilité du projet envers les populations et autorités concernées,
- Une analyse de l’**efficacité** des activités en termes qualitatifs et quantitatifs :
§ Evaluer le degré de couverture des activités par rapport aux besoins identifiés initialement et aux besoins avérés en cours,
§ Evaluer le système de sélection des bénéficiaires,
§ Evaluer les capacités du projet à mobiliser les ressources humaines et le matériel nécessaire à la réalisation des activités et à l’atteinte des objectifs,
§ Evaluer les capacités du projet à définir et mettre en place des approches et méthodologies appropriées au contexte,
- Une analyse de l’**impact** du projet :
§ Quels sont les effets positifs et négatifs du projet au niveau du secteur, de la région, des communautés, des ménages ?
§ Dans quelle mesure ce projet devrait-il être étendu à d’autres zones ou d’autres activités ?
§ Dans quelle mesure l’implication des institutions peut/doit-elle être améliorée ?
§ Y-a-t-il de possibles effets positifs et/ou négatifs au-delà du projet ?
§ Les formations et l’implication des différents acteurs peuvent-ils suffire à la reproductibilité de l’action ?
- Une analyse de la durabilité de l’intervention :
§ Quel est le niveau d’appropriation des différents acteurs (population, autorités locales du secteur) ?
§ Quels sont les facteurs de pérennisation du projet ?
§ Un dispositif de pérennisation des différentes activités a-t-il été/est-il prévu d’être mis en place au cours du projet ?
§ Quelles sont les perspectives de poursuite/maintien des activités par les acteurs à l’issue du programme?
§ Quelles sont les perspectives de prise en charge de la thématique par les institutions compétentes (Ministère de l’hydraulique, …) ?
Parmi les différentes activités et points soulevées, on s’intéressera plus spécifiquement :
- Réseaux AEP:
§ La mise en œuvre de cette activité est-elle efficiente ?
§ Evaluer la méthodologie définie pour assurer la gestion des réseaux AEP.
§ Quelle est la dynamique actuelle des acteurs qui ont participé au processus de concertation pour le choix des modalités de gestion des réseaux AEP ?
§ Niveau de satisfaction des populations sur l’activité réseaux AEP
- Pertinence de la stratégie d’assainissement :
§ Quelles sont les recommandations pour sa mise en œuvre : répartition ? équipements ? nature de la subvention ?
§ Reproductibilité de la stratégie.
§ Pertinence du type de latrines choisies ?
§ Pertinence de la méthodologie basée sur des dossiers de manifestation d’intérêt ?
§ La mise en œuvre de cette activité est-elle efficiente ?
§ les choix techniques et les designs sont-ils adaptés au contexte?
§ Comment les ressources ont-elles été utilisées lors de la mise en œuvre du projet?
- Impluvium:
§ Quelles sont les recommandations pour sa mise en œuvre : répartition ? équipements ? nature de la subvention ?
§ Reproductibilité de la stratégie.
§ Pertinence du type d’impluviums choisis.
§ Pertinence de la méthodologie basée sur des dossiers de manifestation d’intérêt ?
§ La mise en œuvre de cette activité est-elle efficiente ?
- Activités sociocommunautaires :
§ Pertinence de la stratégie de l’activité sociocommunautaire.
§ Pertinence et qualité des outils de sensibilisation
§ Recommandation pour la mise en œuvre de ce type d’activité dans d’autres projets similaire.
- La participation effective des bénéficiaires, et autres acteurs du projet:
§ Les populations connaissent-elles le projet et comprennent-elles son déroulé ?
§ Dans quelle mesure les différents acteurs (centraux et locaux) du projet se sentent-elles concernées par le projet ? Quel est leur rôle ? représentation de leur rôle au sein du projet et leur niveau d’implication ?
§ Comment perçoivent-elles le projet ?
§ Le maitre d’ouvrage a-t-il compris les enjeux liés à sa responsabilité ? Joue-t-il son rôle de maitre d’ouvrage des infrastructures en eau ?
V. Méthodologie
L’évaluateur effectuera sa mission en trois phases distinctes :
Un recueil d’informations/documentations, et des briefings au siège de la Croix-Rouge française (1 jour)
Un déplacement sur le terrain sur site de mise en œuvre du projet (15 jours), qui comprend les briefings terrain (2 jours) et débriefings terrain (dont une première restitution des résultats de l’évaluation aux équipes sur place), à la CRf et à la CRC à Brazzaville (3 jours).
La finalisation du rapport d’évaluation et sa restitution au siège de la Croix-Rouge française (10 jours).
Pour mener à bien son travail, l’évaluateur devra s’appuyer sur :
- Le document projet initial et les avenants.
- Les rapports trimestriels et les rapports intermédiaires.
- Les rapports des études (CAP, socio-anthropologiques, …).
- Globalement tout le système de document compilé dans le cadre du projet.
- Des entretiens avec les différents acteurs du projet : la CRC, CRF, les services étatiques, les partenaires, les bénéficiaires directs.
- Des discussions avec l’équipe du projet.
L’évaluateur est libre de proposer toute modification méthodologie lui paraissant pertinente. Ces modifications seraient alors à valider par le personnel de la CRF impliqué dans l’évaluation.
VI. Rôle de l’évaluateur et responsable(s) hiérarchique(s) et fonctionnel(s)
La CRF et la CRC attachent une grande importance à l’évaluation de leurs activités humanitaires envers les bénéficiaires, de par leur préoccupation continue d’améliorer l’efficacité de leurs opérations et l’utilisation judicieuse des fonds alloués. L’évaluateur doit pouvoir apporter une réponse directe et précise à tous les points contenus dans les termes de référence tout en évitant l’usage d’un langage théorique ou académique.
L’évaluateur travaillera en collaboration avec les personnes suivantes :
Le responsable géographique du siège, considéré comme son responsable hiérarchique (n+1).
Le référent technique du siège sur la thématique Eau et Assainissement.
Le chef de délégation.
Le chef de projet/chef de base d’Odziba.
L’équipe opérationnelle CRC/CRF.
VII. Composition de l’équipe
L’équipe sera composée d’un évaluateur externe à la Croix-Rouge française.
VIII. LANGUES
Français
IX. EXIGENCES DU POSTE / PROFIL DE L’EVALUATEUR
Capacités de travail en équipe
Diplomate et patient
Excellent esprit analytique et de synthèse
Très bonnes capacités rédactionnelles
Maîtrise des outils informatiques Word, Excel et de l’Internet
Expérience dans l’hydraulique rurale
Expérience dans le développement local
Expérience en évaluation et/ou écriture de projet (de préférence format EuropeAid).
Expérience à l’international, la connaissance du Congo et de la zone est un plus.
Analyse du secteur institutionnel en charge de la gestion de l’eau
X.Documents à consulter
Code de l’eau du Congo
Autres documents complétant le code de l’eau de 2003 (décrets et arrêtés…)
Proposition EUROPAID
Avenants
Rapports intermédiaires et semestriels
Notes de cadrage méthodologiques des activités
Rapports d’activité
How to apply:
I.Document à fournir
CV
Lettre de motivation
Offre technique incluant les méthodologies d’évaluation utilisées
Offre financière incluant l’ensemble des dépenses
Références correspondant aux évaluations déjà réalisées
II.Logistique
L’évaluateur externe sera logé dans les logements CRF à Brazzaville et un véhicule sera mis à sa disposition par l’équipe tout au long de sa mission.